Un livre blanc pour comprendre les enjeux, les freins et les leviers concrets de la communication interne à l’ère de la transparence, du collectif et de la culture d’entreprise forte.
Télécharger la ressourceFanny :
J’ai commencé dans la régie publicitaire Précom avant de rejoindre Yelloways. Mon parcours a toujours tourné autour du marketing et des médias, avec beaucoup d’accompagnement clients. Au fil des projets, j’ai découvert la communication RH et j’ai tout de suite accroché : on y parle d’humain, de quotidien, de ce qui se passe vraiment dans une entreprise. C’est moins théorique, plus incarné… et ça me correspond beaucoup. C’est aussi très diversifié en termes de secteurs.
Gwenola :
Pour ma part, je suis passée par plusieurs agences de communication globale, Australie.Gad, Imagecorp, avec un fil conducteur assez clair : la stratégie et le brand content. J’aime comprendre comment une marque pense et comment elle raconte son histoire. La communication RH s’est imposée presque naturellement : elle oblige à être sincère et cohérente, ce qui en fait un terrain de jeu très stimulant. On touche à la fois à l’interne et à l’externe, et cette double lecture me plaît énormément.
Gwenola :
Pour moi, tout commence par un discours vrai, simple et aligné avec ce que vivent les collaborateurs. Si l’entreprise raconte une histoire qui ne ressemble pas à son quotidien, ça se voit tout de suite. Ensuite, il faut donner à ce discours une forme qui marque : une idée, une création, une identité qui se repère facilement. On oublie parfois que la marque employeur est aussi une marque… donc elle doit émerger.
Fanny :
Une fois qu’on a le bon discours et la bonne création, tout se joue dans la diffusion. Les candidats ne sont pas tous en train de scruter les offres : il faut aller les chercher là où ils sont vraiment, et c’est là que le média devient déterminant. Les entreprises ne peuvent plus se contenter d’attendre des candidatures ; elles doivent aller « chercher » les bons profils en amont, et c’est précisément ce qui fait de la marque employeur un levier très stratégique. Et puis il faut de la durée : une marque employeur ne se construit pas en deux semaines.
Fanny :
C’est en effet un travail du quotidien. Une promesse RH, c’est bien, mais elle doit être portée par les managers, par les process, par les équipes en interne. Ce sont dans les gestes concrets que la cohérence se voit vraiment. Une culture d’entreprise, ça ne s’écrit pas sur un document : ça se démontre.
Gwenola :
Et cet alignement passe aussi par de la communication interne. Si les équipes comprennent ce que l’entreprise propose, elles l’incarnent plus facilement. Il faut communiquer d’abord en interne, prendre les retours, ajuster… l’externe vient après.
Fanny :
Les collaborateurs veulent du sens, oui, mais surtout de la transparence. Ils veulent savoir où va l’entreprise, comment elle avance et ce qu’elle met vraiment en place. Le discours employeur doit être simple et assumé.
Gwenola :
Il y a une question de maturité. On ne demande plus aux entreprises d’être irréprochables, mais d’être cohérentes et capables de parler honnêtement de leurs avancées. Les talents recherchent une organisation qui sait dire “voilà ce qu’on fait bien, voilà ce qu’on est en train d’améliorer”.
Fanny :
J’aime voir les résultats concrets : quand une stratégie RH apaise des tensions, ou aide à attirer les bons profils et atteint les KPIs fixés en amont. À ce moment-là, on se dit qu’on a vraiment été utile. C’est ce côté performance qui me motive.
Gwenola :
De mon côté, j’ai envie de contribuer à des stratégies plus justes, plus créatives, plus responsables. J’aime quand une entreprise arrive à raconter son histoire telle qu’elle est, sans artifices, mais avec ambition. Si je peux aider à construire des récits clairs et durables, j’aurai fait ma part.

pour ne louper aucune de nos actus