Un livre blanc pour comprendre les enjeux, les freins et les leviers concrets de la communication interne à l’ère de la transparence, du collectif et de la culture d’entreprise forte.
Télécharger la ressourceJe suis arrivé dans la communication RH un peu par hasard, en rejoignant l’équipe européenne d’Universum en 2000 (Paris, Londres, Stockholm). J’y ai découvert un univers passionnant : la manière dont une culture, un message ou une expérience peuvent réellement influencer l’attractivité et l’engagement.
Par la suite, j’ai évolué en agences, médias et éditeurs de solutions RH (Publicis Mediasystem, Hobsons, Studyrama/Vocatis, Isograd…), ce qui m’a donné une vision complète des enjeux : culture interne, leadership, expérience collaborateur, marque employeur, e-RH, sourcing, enquêtes…
Un parcours à 360°, mais avec un fil rouge : l’envie de comprendre ce qui aide vraiment les entreprises et les équipes à mieux travailler ensemble.
En 2016, j’ai créé Inside Linkers pour rassembler toutes ces expertises — marque, culture, communication, outils digitaux — et accompagner les entreprises de manière simple, cohérente et humaine. Mon ambition n’a jamais été de créer une agence de plus, mais d’être un partenaire vraiment intégré, au contact du terrain et des équipes.
Ce qui m’a donné envie de me consacrer à la communication RH, c’est cette conviction : quand les messages sont clairs et sincères, quand l’organisation est alignée, le quotidien des collaborateurs change vraiment.
Pour moi, une communication RH efficace repose sur trois principes simples :
La marque employeur, ce n’est pas du marketing d’image.
C’est une démarche honnête, continue, qui aide à renforcer la culture, l’attractivité et la fidélisation : sans surjouer, sans promettre l’impossible.
Pour moi, la cohérence, c’est une question d’alignement entre ce qu’on dit et ce qu’on vit.Concrètement, cela passe par :
Quand tout cela converge, l’entreprise devient lisible, crédible et attractive — simplement parce qu’elle tient sa promesse.
Ce qui me marque le plus aujourd’hui, c’est que l’IA n’est pas seulement un sujet d’outils : c’est surtout un sujet de culture, de vision et de sens. Beaucoup d’entreprises testent des usages opérationnels (automatisation, rédaction, pilotage…), mais l’essentiel est en amont : définir la raison d’être de l’IA dans l’entreprise.
Avant de parler de “collaborateur augmenté”, il me semble important de se poser quelques questions simples et structurantes :
• Pourquoi intégrer l’IA ?
• Quel problème collectif voulons-nous résoudre ?
• Quel cap fixons-nous aux équipes ?
• Quelle place souhaitons-nous laisser à l’humain ?
• Et où poser nos limites ?
Une fois cette vision posée, l’IA devient un projet collectif, et non un empilement d’outils. Et c’est là que la transformation prend vraiment forme :
• les collaborateurs y trouvent du sens, comprennent les enjeux et peuvent s’impliquer de manière constructive ;
• les RH passent d’un rôle de gestion à un rôle déterminant et stratégique ;
• et les managers deviennent un maillon central de l’appropriation et de la diffusion.
Ce que j’observe au quotidien, c’est que l’IA pousse les organisations à être plus cohérentes, plus claires et plus alignées. Et, paradoxalement, à remettre encore plus d’humain dans leurs pratiques.
Ce qui m’anime le plus, c’est quand une entreprise me dit : “Vous êtes vraiment avec nous : dans l’équipe, pas à côté. Et ça change tout.” C’est exactement mon approche : être au contact, comprendre les dynamiques, avancer avec les équipes, sans posture, sans surplomb. J’aime connecter les sujets — culture, marque employeur, communication, leadership, outils — pour en faire quelque chose de cohérent et utile, au service du terrain.
L’impact que j’aimerais laisser est simple : aider les entreprises à devenir plus claires, plus humaines et plus alignées. Pas en imposant un modèle, mais en construisant avec elles, pas à pas, un système qui leur ressemble et qu’elles peuvent faire vivre durablement.

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